Et pourquoi pas un cross-kayak ?

Nos amis de l’ESB canoë-kayak organisent le samedi 16 février leur désormais traditionnel “cross-kayak” dans le parc Majolan. Comme son nom, l’indique, c’est une épreuve qui allie la course à pieds et le kayak, selon le déroulement suivant : départ en ligne par catégorie en kayak de descente (ou autre embarcation pour les adultes) pour un parcours allant de 2,5km à 5km. Puis  débarquement suivi immédiatement par un parcours de course à pied allant de 2km à 6km.

Nos amis kayakistes, toujours présents sur nos courses, nous font le plaisir, à leur tour, de nous inviter à participer à leur épreuve ; je crois même que c’est un peu un défi qu’ils nous lancent… Saurons-nous le relever ?

Les épreuves ont lieu le matin, à partir de 10h. Si vous êtes intéressés, me contacter.

Lionel

 

Communication : c’est parti !!!!

Premier pas ce soir pour la nouvelle commission “Communication – Site Internet 2013 !!

Dorénavant : Lionel est sous tutelle : on a tous les codes ! Sauf carte bleue, bien sûr…

Les prochains articles viendront bientôt : alors : à vos runnings ! nos envoyés spéciaux seront prêts à immortaliser vos exploits !!! N’hésitez pas à nous les communiquer.

Claudette, Gaëlle, Loïc, Stéphane et Yann, sous le contrôle de Maître Lionel

 

Les jambes… et la tête !

Dans le cadre de “Toute la Ville s’Porte bien”, la médiathèque organise une rencontre avec Guillaume Leblanc, philosophe et coureur de fond, auteur de « Courir…méditations physiques », le 14 février à 20h, en partenariat avec l’Escale du livre, rencontre animée par Xavier Lacarce, universitaire.

Les philosophes ne traitent jamais de la course à pied ; déjà les Grecs faisaient l’éloge de la tortue marcheuse, mais disqualifiaient le vaillant Achille, pris dans la folie de ses enjambées… L’auteur, coureur de fond lui-même, s’oppose ici à cette tradition : en autant de textes qu’il y a de kilomètres au marathon, il va à la rencontre des millions de joggers qui ignorent parfois leur propre sagesse. Il brosse pour cela de nombreux portraits, de Guy Drut aux fuyards des sociétés modernes, en passant par les marathoniens de New York ou d’Amsterdam. Il montre que la course permet de tester les philosophies (si l’on démarre kantien, on finit toujours spinoziste…). Il la ressaisit enfin comme une expérience du temps, et révèle sa vraie nature : la course est l’épreuve d’un pouvoir intérieur..